Ils sont infirmiers libéraux, médecins, ambulanciers et se rejoignent autour d’une même inquiétude : que la pénurie de carburant « s’enlise ». Ce qu’ils réclament, à ce stade, c’est de bénéficier d’une « priorité au ravitaillement » en essence, pour ne pas mettre en péril leurs « tournées ». Mais aussi de la « clarté » dans la gestion de cette crise.

« Dans certains territoires, des stations-essence ont été réquisitionnées pour les professions prioritaires, dans d’autres, elles ne le sont pas, observe Daniel Guillerm, président de la Fédération nationale des infirmiers (FNI). Même si tous les départements ne sont pas touchés de la même manière, cette gestion au cas par cas ajoute de la confusion à la confusion. »

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